Damien en Tunisie : suite n°4

Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. Les doigts ont quitté ma raie. La main est sortie de mon pantalon, mais mon slip est resté bloqué sous mes fesses. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place ou se déroulait le spectacle. Les mains ont fouillé dans mes cheveux et ôté l'élastique qui les retenait en queue de cheval. Khaled les a étalé sur mes épaules.

  - T'es mieux comme ça. Cheveux longs et pantalon de courtisane. Ils vont aimer.

Je n'ai pas eu le temps de réagir quand, d'un mouvement rapide, il m'a baissé le pantalon sous les fesses. Complètement paniqué, j'ai sursauté. J'avais le cul à l'air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C'était complètement dingue.

Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux arabes les plus proches de nous ont certainement vu mon cul à l'air. Khaled m'a remonté le pantalon aussi rapidement qu'il l'avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais de peur.

  - Je veux qu'ils voient ton petit cul... Même dans le noir on peut voir tes fesses toutes blanches... Tu devrais bronzer à poil. Dommage que c'est interdit chez nous...

Un des mecs a parlé et l'autre a ajouté quelques mots. Khaled leur a répondu. La discussion s'est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient, mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion. Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir.

  - Ils veulent encore voir la marchandise.
  - Non Khaled. S'il te plaît, arrête... On risque de se faire prendre.
  - Ta gueule Damia... On va encore leur monter tes petites fesses.

Les autres ont entendu le prénom féminin et on souri d'un air de connivence. Khaled a de nouveau baissé l'arrière de mon pantalon. Cela duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu. Les deux arabes n'ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d'envie. Je n'arrivais plus à voir où étaient Sylvie et Mourad. À nouveau des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle.

  - Il dit que tu as de très belles fesses... Hautes et musclées...

Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu'il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Sylvie et Mourad. Khaled me parle à l'oreille

  - Ils ont envie de te niquer... Ils disent qu'avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup à tirer...

Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon coeur bat la chamade et je tremble. J'ai un mouvement de révolte. Pourtant je n'arrive pas à lui faire part de mon refus. Il me traite comme un objet, comme son objet et c'est cela qui me trouble et me rend aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit.

  - J'ai bien envie de leur dire que je suis d'accord pour leur prêter ton cul...
  - Non... Non Khaled... S'il te plaît...
  - Ta gueule... Tu fais ce que je te dit... Et puis d'abord pourquoi je leur refuserais... Je sais que tu aimes ça... Je le vois dans tes yeux...
  - Non je veux pas... S'il te plaît...
  - T'as rien à vouloir...

Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d'avance avec Khaled. Pour lui, j'étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j'étais sa pute.

La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip dans le linge sale de Sylvie. Ce jour là, il était de mauvais poil, agressif et dur, le geste brusque et nerveux. Il a pris le slip dans sa main et l'a serré de toutes ses forces.

  - Qu'est que tu attends pour te foutre à poil...

Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. D'un air méchant, et m'a jeté le slip au visage.

  - De dos avec son slip, j'aurai l'impression de la baiser elle. Tu lui ressembles avec tes cheveux longs et ta taille fine.

J'ai compris qu'il se passait quelque chose entre ma copine et lui et qu'il voulait se venger avec moi. Il m'était impossible d'accepter ce qu'il me demandait et j'ai osé refuser et lui tenir tête. Il est entré dans une rage folle et m'a giflé violemment avant de se jeter sur moi. Nous nous sommes battu, mais je ne faisais pas le poids.

J'ai appris à mes dépends qu'il pratiquait couramment les arts martiaux. D'une clef très douloureuse, il m'a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et bras tordu dans le dos, à la limite de la cassure.

  - Je vais te faire obéir moi... On ne discute pas avec moi... Tu n'es qu'une poule mouillée qui mérite une bonne punition...

Il m'a alors donné une fessée magistrale. Il avait une force redoutable et il m'a assené une volée de claques sur les fesses qui m'a fait pleurer de douleur. Il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. On devait entendre mes cris dans tout l'immeuble. Je m'en fichais. J'avais trop mal aux fesses.

  - C'est pas fini le français... Il faut que tu le demandes poliment...

Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J'ai crié, puis l'ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu'il voulait. Il m'a frappé les couilles. La douleur a irradié dans mon cerveau. Me bloquant la respiration.

  - La prochaine fois que tu refuses de faire ce qu'on te dit. Voilà ce qu'on te fera. Les fatma; elles n'ont pas besoin de couilles...

Un autre coup sur mes couilles. La douleur était intolérable. Il m'a lâché. J'ai mis de longues secondes à récupérer.

  - Allez, Tu le mets ou je recommence...

En pleurant et reniflant, j'ai mis le slip de dentelle. Mes fesses me brûlaient. Je titubais et mes couilles douloureuses n'arrivaient pas à se loger dans l'empiècement.

  - Penches toi et tends bien ton cul.

Je lui ai présenté mes fesses rougies enserrées dans la dentelle noire. Mes fesses me cuisaient...

  - Chez nous, les femmes elles obéissent en se taisant...

Il a écarté le fonds du slip, dévoilant ma raie...

  - Mets-toi de la salive sinon je te nique à sec.

J'ai craché dans ma main pour m'enduire la raie. Je l'ai fait plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je n'aie plus de salive. Avec ses pouces, il a ouvert largement mes fesses au niveau de mon anus et son gland s'est collé contre mon trou mouillé.

  - Je t'ai déjà dis de te raser la raie... T'as intérêt à le faire... Et la prochaine fois, tu t'essuieras mieux quand tu chies... On n'aime pas les gens sales chez nous... Il faut que tu sois absolument propre avec nous compris... T'as intérêt à obéir...

Cette humiliation de plus a été un nouveau coup de poignard pour moi. J'ai pleuré comme un gamin. Cela l'a fait rire.

  - Allez Damia, recules, c'est toi qui vas te niquer tout seul.

J'ai dû tortiller mon cul pour m'empaler sur son sexe tendu. Il m'a laissé faire et j'ai lentement reculé. Mon anus s'est ouvert sans trop de difficultés. La douleur était supportable. Je sentais son sexe écarter ma corolle. Le gland est passé sans problème. Puis la tige épaisse est entrée. Mon ventre se gonflait. Je continuais de reculer malgré la douleur qui se réveillait.

  - Continues. je veux que tu te la plantes jusqu'aux couilles.

J'ai reculé d'un coup. Tout est entré et mes fesses se sont collées contre son pubis.

  - Tu vois quand tu veux... Vas y... Damia bouge bien ton cul... Plus vite... Vas-y ma salope, tortille ton cul de poufiasse...

Mon cul s'est ouvert autour de son sexe très épais. C'est moi qui m'enculais et j'allais de plus en plus vite. J'ai redressé mon visage vers le plafonds en gémissant doucement. Mais pas de douleur. Son sexe occupait tout mon ventre et tapait tout au fonds de mes intestins. Mon trou béant l'avalait sans difficulté et la salive jouait parfaitement son rôle de lubrifiant. J'ai reculé vers sa bite jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Je me cambrais au mieux pour lui tendre mes fesses toujours enveloppées du slip de Sylvie. Je sentais parfaitement le sexe coulisser en moi.

  - Allez, encule toi mieux que ça... Vas plus vite... Plus vite, si non c'est encore une fessée... C'est dommage que tu peux pas voir la taille de ton trou autour de mon zob... Plus vite salope... Ça vient... Vas-y...

Il parlait fort comme pour être entendu de l'extérieur. Il m'a tiré de toutes ses forces contre son bas ventre et a joui dans mes entrailles dévastées... Mon cul s'est rempli de son jus chaud... Il m'a caressé les fesses.

  - C'est bien t'es une bonne pute...

Il a pratiquement crié la phrase et j'ai entendu des voix dans la cour intérieure de l'immeuble. Son pieu a libéré mon trou gluant. Il l'a essuyé contre le slip de Sylvie que je portais toujours. Je me suis redressé en ayant encore l'impression d'avoir son sexe en moi. Il m'a regardé méchamment. Il a lentement remonté son pantalon. Sa bite toujours tendue, sortait de sa braguette ouverte. Il a ôté sa ceinture de pantalon qu'il a brandie vers moi.

  - La prochaine fois que tu nous désobéis, c'est avec la ceinture que je te corrige et on raconte tout à Sylvie... Baisse les yeux quand je te parle...

J'ai obéis. Je me sentais misérable, sale dans la tête et ridicule, uniquement accoutré du slip de ma copine, le cul ouvert et dégoulinant. En plus je savais qu'il y avait du monde dans l'immeuble et qu'ils avaient dû entendre et comprendre ce qui se passait. Kalhed s'est approché de moi pour mettre son ceinturon autour de mon cou. Il a tiré vers le bas.

  - D'après Mourad, tu fais très bien la fellation... C'est un plaisir rare... À genoux... Tu vas me montrer comment tu te débrouilles... Vite... Sinon, gare à tes fesses.

Des exclamations étouffées devant la porte de la chambre. Je suis tombé à genoux devant lui. Son sexe maculé de traces luisait devant mes yeux. Une très forte odeur s'en dégageait et me soulevait le coeur. La peau brune tendu était couverte de taches brunes ou blanches.

  - Ouvre ta bouche... Bien grande... Nettoies, j'aime pas avoir le zob sale... Allez nettoie ta merde... Et la prochaine fois, tu devras avoir le cul bien propre et rasé...

On parlait à voix basse derrière la porte. J'ai ouvert la bouche. pour sucer la bite sale de ce jeune arabe. J'étais entrain de bouffer ma merde et son sperme alors que des inconnus derrière une porte devinaient ce qui se passait dans la chambre. J'avais envie de vomir ou de disparaître de la surface de la terre. Et pourtant, je bandais et je ne pouvais pas le lui cacher puisque le slip de ma copine était trop petit pour cacher mon sexe dur. J'ai découvert l'odeur et le goût de mon intimité en léchant le gland baveux et la hampe tachée.

  - Rappelles toi... La prochaine fois, le cul propre à l'intérieur et à l'extérieur et la raie bien rasée... Sinon on te fait bouffer ta merde... Allez bois jusqu'au la dernière goutte... Allez Damia, avale bien toute la jute de ton mâle...

À partir de ce jour, je ne me suis plus rebellé et ai exécuté toutes leurs envies de plus en plus dominatrices.

Le spectacle de tous ses chevaux caracolant sur la place était splendide. Mais je n'y faisais pas attention.

  - Allez viens... Suis moi...

Nous avons fendu la foule toujours aussi enthousiaste avec beaucoup de difficultés. Les deux autres arabes nous ont emboîté le pas. Nous avons réussi à quitter la place. De nombreuses ruelles. Pas d'éclairage. Un bon quart d'heure de marche. C'est un des deux inconnus qui nous guide.

On stoppe devant une porte très étroite dans une venelle étroite et très sombre. L'inconnu l'ouvre et parle à Khaled. Nous entrons. Le mec ferme à clef derrière nous. Un escalier étroit éclairé par une seule lampe. On voit à peine les marches. Khaled me fait passer devant eux. Un des mecs prononce de brèves paroles. Khaled rigole.

  - Il a dit qu'il a pas bien vu ton cul tout à l'heure... Damia, tu vas faire ce qu'il te demande...

Ils parlent entre eux. Longue palabre en arabe. Ils m'ignorent superbement. Ils sourient les trois.

  - Laisses ton pantalon et ton slip ici... Ils veulent voir ton pt'i cul de gonzesse monter l'escalier... Tu récupéreras tes affaires au retour...

Comme je reste immobile, c'est un des deux inconnus qui me baisse rapidement les vêtements autour des chevilles. Mon pantalon et mon slip restent sur la première marche. Nu à partir de la taille, je monte les marches devant eux. L'escalier est interminable, sans aucun palier. De temps en temps on me pousse ou me caresse les fesses. J'arrive enfin devant une porte. C'est celui qui nous ouvert en bas qui ouvre encore. Nous entrons. C'est une petite pièce avec des grandes ouvertures dans les murs crépis. Sur le mur opposé à celui de la porte d'entrée, il y a une autre porte. La presque totalité du sol est jonché de linge en ballots. Des grands draps en tas aux quatre coins de la pièce. Des montagnes de linge. Jamais je n'en avais vu autant. Une vrai blanchisserie.

  - On va être tranquille... C'est dans cette pièce que tous les habitants de l'immeuble mettent leur linge sale avant de le laver et l'étendre sur la terrasse derrière cette porte.

Les grandes fenêtres sont sans aucune protection et les lumières de la ville nous éclairent. On entend les lointaines clameurs de la fantasia. Les deux mecs sont venus m'entourer. Ils parlent à Khaled, me palpent: les cuisses, les fesses, la taille et bien sur la raie.

  - Allez-y mes frères... Ils est à vous...

Khaled s'est assi sur un tas de linge. Les deux arabes biens plus vieux que nous semblaient impatient et voulaient profiter de l'aubaine rapidement. Ils portaient des alliances. Leur mains pressantes couraient sur mon corps, m'ont débarrassé de mon dernier vêtement et m'ont poussé vers le sol. Je me suis retrouvé en levrette, uniquement vêtu de mes chaussures, sur un tas de linge qui sentait la sueur et la crasse. Un des mecs a tiré mes cheveux vers le haut, m'obligeant à lever la tête. J'ai compris ce qu'il voulait et j'ai ouvert la bouche sans aucun mouvement de révolte.

  - T'aimes vraiment être traité comme une pute toi...

La bite qui s'est plantée dans ma bouche ouverte sentait très fort la sueur et la pisse. J'ai eu un haut-le-coeur de dégoût. Le type a tiré mes cheveux vers sa chemise. Le pieu chaud s'est planté dans ma bouche.

  - Allez Damia, montres lui comme tu suces bien...

L'autre m'a palpé le derrière. J'ai les fesses écartées. Un peu de salive. Un sexe dans ma raie à la recherche du passage. Des mains sur mes hanches. Un gland contre mon trou. Mon cul s'ouvre maintenant sans difficulté. Le sexe s'enfile en souplesse dans mon intimité. L'arabe pousse son engin au fond de mes entrailles. Mon cul avale la totalité du morceau sans aucun problème.

  - Allez Damia au turf, fait bien plaisir à mes deux amis...

Je me suis laissé utiliser par mes deux trous devant Khaled. C'était la première fois que je me faisais limer par deux parfaits inconnus. J'avais une bite dans la bouche et l'autre plantée dans mon cul. J'imaginais Khaled en train de regarder la scène et savourant son emprise sur moi. Je suis sûr qu'il devait bien bander en voyant son ami le français se transformer en pute.

  - T'es une bonne tapette, dommage que Sylvie n'est pas là.

Les deux arabes ne disaient rien, se contentant de me bloquer la bouche et le cul. Donnant des coups de reins vigoureux qui envoyaient leurs sexes au fond de mon être. J'avais du mal à garder la position sur ce ballot de linge. C'est eux qui me tenaient. Ils haletaient en crachant des interjections dans leur langue. Ils me traitaient comme une chose, un objet. Ils m'utilisaient pour leur plaisir.

  - Ils disent que t'es une vraie pute... Qu'il vont t'éclater le cul et la bouche...

Les mecs ont ralenti la cadence. Ils faisaient coulisser leurs centimètres de chairs brunes doucement.

  - Ils veulent profiter à fonds d'une bonne salope comme toi... Avec leurs femmes, ils ne peuvent pas faire ce genre de trucs...

Au bout d'un moment les bites m'ont libéré. Je me suis affalé sur le sac de linge sale mais ils ne m'ont laissé aucun répit et m'ont retourné à plat ventre. Ils n'avaient même pas ôté leur pantalons qui tire-bouchonnaient sur leurs chaussures de ville impeccablement cirées. Les pans de leurs chemises blanches cachaient leur fesses et leurs bas-ventre. Leurs sexes bruns et circoncis pointaient fièrement. Ils avaient même gardé leur cravates. Les bites dures et luisantes qui sortaient des pans de leurs chemises ressemblaient à des armes. La lune éclairait bien la pièce. Le linge sentait fort malgré l'aération.

Un des mecs s'est mis à genoux au dessus de ma tête, m'emprisonnant le crâne entre ses cuisses musclées. Il était très poilu. Il s'est baissé et ses couilles se sont posées sur mes lèvres. Il était presque assis sur mon visage et frottait ses fesses velues contre ma face. Mon nez plongeait dans sa raie. Il s'est mis à frotter son cul sur ma bouche. L'odeur de merde et de sueur était suffocante. J'avais du mal à respirer.

  - Sa femme lui a toujours refusé ça... Tu vas lui bouffer le cul comme une professionnelle...

L'autre m'a levé les jambes à la verticale. Le mec assis sur moi m'a saisit les chevilles pour tirer mes jambes vers lui, faisant passer mes mollets derrière lui et les bloquant derrière ses bras. J'étais cassé et plié en deux. J'avais un mal fou à respirer. La position qu'ils m'avaient fait prendre dégageait complètement ma raie. J'avais l'anus offert. Mon visage était soudé contre la raie très poilue. L'odeur était insoutenable. Ils ont parlé en arabe.

  - C'est dommage que tu n'arrives pas à te voir dans cette position... Avec le cul en l'air et le trou bien offert... En plus tu bandes bien mon salaud... Ils veulent voir la taille de ton trou...

Je ne pouvais ni parler ni crier. L'anus du type était contre ma bouche. C'était très chaud, doux et avec une odeur poivrée très forte.

  - On va voir si tu as le fion aussi souple que le corps...

Un sexe a forcé le passage de ma corolle. Le mec m'a pris par les cuisses et m'a tiré vers lui. Sa bite s'est enfoncée en moi sans aucun problème. Je sentais mon muscle se dilater.

  - Il veux que tu lui lèches le cul... Dommage que Sylvie ne peut pas te voir...

Ma langue s'est mise à nettoyer la rosace plissée. Les poils étaient rugueux et collés entre eux. Je m'habituais à l'odeur épicée et au goût sucré de la peau. Une brusque douleur qui m'a fait sursauter. Mon enculeur donnait de violent coups de reins en me tirant en même temps vers lui. Sa bite tapait durement au fonds de mon ventre. J'avais l'impression que mon cul allait éclater à chaque fois que le sexe coulissait en moi. Je ne pouvais pas bouger et ma bouche ouverte gémissait contre l'anus d'un de mes agresseurs.

  - Il dit que tu as le cul bien ouvert, il ressemble à la chatte de ta copine... Dommage que tu ne mouilles pas autant qu'elle...

Pendant un bon quart d'heure, j'ai cru que j'allais mourir d'étouffement ou d'un déchirement. J'avais l'impression que mon cul était béant. J'étais complètement ouvert et offert à ces deux arabes qui me traitaient de la pire des manières. J'étais leur chose, et ils faisaient ce qu'ils souhaitaient de mon corps, avec la bénédiction de Khaled qui nous regardait sagement assis dans son coin. Ils ont plusieurs fois échangé leur place et je léchais des bites souillées. Mon cul les recevait sans aucun problème et restait ouvert entre leur relais. Les deux arabes ont mis du temps avant de jouir. Ils se servaient de ma bouche et de mon cul sans aucun ménagement. J'étais assez surpris de pouvoir supporter un tel traitement.

Quand ils m'ont lâché, j'avais l'impression d'être complètement disloqué. Je n'ai même pas senti les bites qui se sont déversées à tour de rôle dans mes entrailles. Je me suis écroulé sur le ballot de linge. Les autres ont allumés des cigarettes. Ils parlaient à Khaled. J'avais du mal à retrouver mes esprits. J'avait des poils dans la bouche et leurs odeurs tenaces étaient encore dans mes narines. J'avais un peu froid. J'avais le visage contre le linge sale. Ils ont éteint leurs clopes. J'ai vu leurs chaussures revenir.

  - Tu leur fais de l'effet ma petite Damia, ils ont encore envie de toi... On a encore le temps, la fantasia n'est pas finie... Ils veulent faire comme les cavaliers et continuer à te monter...

Ils m'ont sodomisé à plusieurs reprise, et n'ont pas eu besoin de rajouter de la salive. J'avais avalé leur sexes et léché leur culs sales. J'étais complètement cassé moralement et physiquement. Ils ont chacun joui plusieurs fois dans ma bouche et dans mon cul. J'ai bu leurs spermes jusqu'à la dernière goutte. Chose inconcevable aujourd'hui avec le sida. Quand ils ont fini de prendre leur plaisir, j'avais l'impression que mon trou ne se refermerait plus. Je le sentais boursoufflé et douloureux. Je me suis relevé en pleurant de honte. J'avais du mal à me rhabiller et encore plus à marcher. Nu et le cul inondé, je suis redescendu toujours devant eux. J'ai remis mes affaires après m'être essuyé avec mon slip.

  - T'as intérêt à bien serrer les fesses si tu veux pas tacher ton beau pantalon de courtisane...

Les deux autres ont ri à la remarque de Khaled... Le spectacle était fini et la foule envahissait les rues. Je marchais comme un somnambule à côté de Khaled. Les deux autres nous avaient quitté. Nous nous sommes arrêtés devant une fontaine publique.

  - Nettoie toi sinon Sylvie ne va pas comprendre.

Je me suis aspergé le visage. C'est tout ce que je pouvais laver. J'avais mal au ventre et aux mâchoires. Je serrais les fesses pour que le sperme ne tache pas mon pantalon. Khaled m'a montré plusieurs billets de cents dinards

  - Ils ont été très généreux!

J'étais abasourdi. Ainsi donc, il m'avait vendu à ces deux parfaits inconnus! C'était donc vrai que j'étais sa pute! Le pire c'est que nous avons retrouvé Sylvie et Mourad attablés à une terrasse de café et j'ai retrouvé ma forme coutumière. Ils ont parlé un moment en arabe pendant que Sylvie s'extasiait du spectacle auquel elle avait assisté.

C'est Khaled qui nous a offert la tournée et les repas avec l'argent que je venais de gagner avec mon cul et ma bouche. Sylvie l'a remercié très chaleureusement.

suite n°5 Damien

Suite n° 6 Damien

Fin de l'histoire de Damien